Monsieur Le Bâtonnier de l'Ordre des avocats à La Cour de Toulouse refuse de se soumettre à l'article 40-1 alinéa 2 du Code de Procédure Pénale malgré ma redemande plus qu'explicite que nécessaire de designer un avocat spécialisé dans les Droits des mesures d'exécutions du 19 Juin 2012.
Manifestement il ne veut pas être une solution alternative pour résoudre les problèmes précités et pour faire valoir mes droits évidents et indiscutables.
Est-ce qu'il renvoi la balle à Monsieur Le Procureur de La République de Toulouse?