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mercredi 15 août 2012
L'AUDACE D'UN AVOCAT.
Manifestement l’avocat de la partie adverse ne mesure pas la gravité de son acte qui est une audace injurieuse par une demande de renouvellement fantaisiste des baux malgré les contenus explicite des dossiers concernant sa/ses cliente(s) qui sont des occupants débiteurs, illégaux en cessation de versements délibérés des locaux commerciaux.
Evidement, son acte audacieux ci-dessus est une insulte au propriétaire de deux locaux contigus et distincts, ainsi qu’aux droits évidents et incontestables du propriétaire.
Un avocat sérieux s’oblige de s’instruire avant de se produire. C’est le B.A.-BA des juristes professionnel.
Dans le cas contraire il s’agît d’une atteinte aux droits de propriétaire avec de la préméditation qui est le cas aussi parmi d’autres cas selon les contenus des dossiers concernant.
Ce n’est pas à moi de faire de la morale, en principe c’est de la déontologie du Barreau concerné qui s’en charge. Mais, Le Bâtonnier se lave les mains.
Alors ?