Une avocate adverse qui se dicte abusivement pour ses clients débiteurs en cessation de versements pour des renouvellements fantaisistes des baux commerciaux sans avoir versé un sou au propriétaire créancier pour couvrir les dettes de ses clients indélicats est une avocate indigne de ce nom.
En clair, c’est une avocate pourrie qui manque du sérieux et qu’elle est désormais non considérable pour le propriétaire-créancier.
Ça va de soi !
Puisqu’elle n’a pas de volonté non plus pour tenir correctement ses clients concernés par suite de son prétexte grossier du 26 octobre 2012.
C’est une avocate qui est passable en correctionnelle pour ses actes délibérées pour un dessin prémédité qui est hautement nuisible pour le propriétaire-créancier.
Bref, elle doit rouler pour la maffia juridique, pour les voleurs des fonds et hors la loi pour qu’elle prenne des risques pareils.
La partie adverse peut rechanger son cabinet d’Avocats pour un autre considérable et respecter les commandements no°14 du 11 juin 2012.
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