FICTION POUR UNE JUSTICE DIVINE QUI DEPLACE
LES RESIDENTS DU CHAMPS D'ELYSEE VERS LES LOGEMENTS DU TARTARE .
Le rétablissement de La Justice Divine ? Et , pourquoi pas !
Doit-on rétablir La Justice Divine par-ce que La Justice Humain est échoué à cause de la corruption des élites et des prélats que, sciemment l'ont abusés et l'ont rendus partiale aux profits des fautifs et, pour parvenir à leurs fins ?
Dans le cas du rétablissement de La Justice Divine il n'est pas difficile d'imaginer que :
⦁ Le Tartare sera bondé et L'Elysée sera vidé par manque du mérite !
⦁ Le dieu du pardon sera transfiguré en dieu du châtiment !
⦁ La République , la démocratie , l'oligarchie , etc... seront disparus !
⦁ Les livres sacrés seront automatiquement obsolète !
⦁ Le dictât divin sera installé !
⦁ Et, ça va être l'Enfer :))))))
⦁ Après tout ce qui est annoncé , non ?
⦁ L'Apocalypse , la fin du monde , ... Ça vous dit quelque chose ?
⦁ Á réfléchir .
⦁ Peut-être qu'il y a encore du temps pour ... :)))
⦁ Eh oui. On ne sait jamais ! Il vaut mieux d'être prudent , non ?
La majorité des élites se disant pragmatique, réaliste, atéiste, ... , mais des croyants malgré eux-mêmes, par ce qu'ils sont souvent des membres des organisations internationales qu'elles peuvent être qualifiées comme des sectes ou/et comme des religions alternatives qui servent à une croyance, à une pensée, à un mouvement ou/et un dieu corrompus, partiaux,égoïstes, raciaux, ... etc.
L'apocalypse, Le Jugement dernier, ... étant un concept global et omniprésent dans toutes les cultures qui englobe aussi les élites croyants ci-dessus décrit.
Donc les élites non plus, ils ne sont pas à l'abri de l'idée du jugement dernier, ils risquent de se trouver aussi entre les murs de Tartare infernal.
Qu'est ce qu'on dit ?
Le gros poisson avale les petits poissons !
Tout comme le Diable à tête de rapace de "l'Enfer Musical" de Jérôme BOSCH qui avale les hommes.
Moralité :
Ceux qui se croient gros aujourd'hui peut être petit demain pour être avalé à leurs tours.
C'est la loi de la nature.
Nurhan GÜLER