LA MAFIA TOULOUSAINE.

LA MAFIA TOULOUSAINE EST UNE AFFAIRE D’ÉTAT QUE L’ÉTAT NE PEUT PLUS L’IGNORER.

LA MAFIA TOULOUSAINE JURIDIQUE ET JUDICIAIRE EST UN FLÉAU DE LA FRANCE QUI DOIT ÊTRE ÉRADIQUÉE PAR L’ÉTAT FRANÇAIS POUR ASSAINIR LE SYSTÈME S’IL NE VEUT PAS D’ÊTRE SUSPECTÉ COMPLICE DE LA MAFIA JURIDIQUE ET JUDICIAIRE.

PAR-CE QUE, LES VOLEURS DES FONDS AUSSI DOIVENT ETRE PUNIS TOUT COMME LES VOLEURS DES POMMES. C’EST LÉGITIME.

La panocratie

L’EUROPE PARTIALE:

BAS LES MASQUES. L’EUROPE EST UNE PANOCRATIE PHALLOCENTRIQUE NÉGATIVE AGGRAVÉE.

jeudi 30 mai 2013

L'Etat français à son tour est la nouvelle victime de la maffia juridique?



Manifestement la maffia juridique ne frappe pas que seulement le privé mais aussi le public.

L’affaire semble d’être tellement grave que l’Etat français se prépare de se porter la partie civile « dans les meilleurs délais », selon le média, pour « usage abusif des pouvoirs sociaux et recel de ce délit ».

Les termes qui circulent au média concernant du dossier sont :

  • ·         Complicité de faux et détournement des fonds publics

  • ·         Escroquerie en bade organisée

  • ·         Manœuvres pour détourner l’argent public


Selon François Bayrou, cette affaire  "serait l’affaire la plus grave de la Ve République depuis qu’elle existe"  (sic.).

Pour Marine Le Pen c'est "une affaire d'Etat" (sic.).

mercredi 29 mai 2013

La casse juridique.



La balance de la justice française ne pèse plus rien.

Elle est cassée d’une part par les juges schizophrènes  et de l’autre part par le crime organisée de la maffia juridique (cf. http://immobilier-en.blogspot.com/2013/05/la-decadence-de-la-justice-francaise.html ).

Pour évoquer le coté obscure de la justice française certains reconnaissent timidement que la justice française a deux poids et deux mesures.

Que, les deux poids et deux mesures de la justice française reviennent souvent devant la scène de l’actualité.

Mais avec une balance cassée et inutilisable de la justice française les deux poids et les deux mesures ne servent absolument à rien non plus.

Donc, c’est mauvais pour tous le monde, aussi bien pour les hors la loi que pour les victimes.

Puisque la balance casée et inutilisable de la justice française est bonne pour la casse avec ses deux poids et ses deux mesures.

La justice française n’est autre qu’un visage ternit du toc et du bidon.

Le terme « j’ai confiance à la justice française » usagé régulièrement par les personnalités n’est pas innocent non plus.

Par l’usage du terme « j’ai confiance à la justice française » les personnalités veulent dire en réalité qu’ils sont confient de leurs impunités par les deux poids et deux mesures de la justice française.

Avec un risque quand même d’être épinglé sur le mur des cons du syndicat des magistrats que les a récemment très choqué par sa découverte (cf. http://immobilier-en.blogspot.com/2013/04/le-mur-des-cons.html ).

Avec un tél mur des cons les magistrats se moquent clairement des personnalités ayant ou pas de la confiance à la justice française.

L’affaire Tapis qui revient devant la scène de l’actualité nous enseigne beaucoup de choses (cf. http://news.fr.msn.com/m6-actualite/france/affaire-tapie-adidas-le-juge-arbitre-pierre-estoup-en-garde-%C3%A0-vue-1 ).

lundi 27 mai 2013

La décadence de la justice française.



Il ne faut pas confondre la schizophrénie des juges (d’instructions), déjà évoquée au média, avec du crime organisée de la maffia juridique française. http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2009/01/07/01016-20090107ARTFIG00049-le-juge-d-instruction-ne-peut-etre-que-schizophrene-.php

Ce sont deux choses fondamentalement et totalement différentes.

La schizophrénie est une maladie psychologique par laquelle le juge schizophrène n’est pas conscient du mal qui fait à l’autrui par ses actes, dont irresponsable selon les lois.

Contrairement au crime organisé qui est conscient du mal qui fait à l’autrui par ses actes délibérément nuisibles, dont responsable selon les lois.

Mais, ce qui est plus grave ;
Dans les deux cas, La Justice française ne discerne plus le vrai du faux, le bien du mal et la victime du criminel pour prendre le taureau par les cornes pour s’assainir et/ou pour condamner.

vendredi 24 mai 2013

Le cinéma judiciaire.



Les magistrats indélicats qui abusent leurs pouvoirs et leurs fonctions de leur propre monopole juridique par lequel ils sont protégés.

La France doit sanctionner lourdement ses magistrats indélicats qui déraillent consciemment la justice française qu’elle n’est désormais plus qu’une enveloppe dorée sur une justice du toc.

Une justice française du toc qui roule de concert avec les avocats véreux et avec autres services de la justice qui se soustraient à leurs obligations pour les profits de la maffia juridique et leurs clients qui sont des délinquants ou/et des criminels hors la loi.

Une justice du toc qui dysfonctionne délibérément le système juridique française aux dépenses de leur(s) victime(s).

Par les conséquences des choses, c’est un dysfonctionnement délibéré de la justice française qui est fait automatiquement par les acteurs judiciaire aux dépenses des contribuables français qui les nourri.

La justice française ne discerne plus le vrai du faux !
La justice française est explicitement fausse.
C’est du toc dans un papier doré qui se ternit. 

Si La France veut maitriser son spiral concernant l’évolution-régression,  elle doit d’abord se débarrasser de sa maffia juridique qui L’entraîne vers le sens de la régression du spiral.

N.G.

 

jeudi 16 mai 2013

Plaintes additives contre X avec des demandes de dédommagements du 8 mai 2013.



DE :        Nurhan GÜLER                       

              
Propriétaire-créancier de deux locaux commerciaux sis à Toulouse centre                            PLAIGNANT                                                                                                                                     Nationalité française 

E-mail :                www.nurhan.953@gmail.com





A :          LA GENDARMERIE NATIONALE
               Brigade territoriale autonome
               

 


Procureur/Rép/Tlse/Réf/34/OM/2003

COPIE* EN RAR :   MONSIEUR LE PROCUREUR DE LA REPUBLIQUE DE TOULOUSE


PLAINTES OUVERTES ET PUBLIQUE EN RAR

RAPPEL :
A]
Au cas où, Monsieur Le Procureur de La République de Toulouse ne me croit pas, comme c’était le cas par sa décision officielle du 29 mars 2004  (cf. PJ no°1) :
1)    Le contenu, la mise en page et la rédaction de la présente lettre-plainte avec des demandes sont réalisés par moi-même, le propriétaire-créancier, selon les contenus des dossiers concernant. 
2)    La copie d’écran de La Gendarmerie nationale concernant doit être conforme et identique à La présente Lettre-Plaintes avec des demandes, à savoir :
a)     Demande des condamnations des fautifs pour les faits explicitement précités.
b)    Demande de dédommagement de mes préjudices (y€=y1€+y2€)
(Cf. II-3a, 3b), (cf. PJ. No°5).

B]
Le Parquet de Toulouse doit nous sortir de cette impasse dans laquelle nous a sciemment mis par son sceau (cachet) du 23 avril 2003 apposé sur ma démarche auprès Le Greffe du Tribunal de Grande Instance de Toulouse pour saisir le Juge de l’évident et de l’incontestable du 22 avril 2003 qui fait fuir les huissiers de justice et les avocats de Toulouse (cf. PJ no°1).
C’est une affaire Pénal sous les responsabilités d’Etat français pour des raisons explicitement précitées par mes plaintes successives depuis 8 août 2003.  


OBJETS :                         PLAINTES ADDITIVES AVEC DES DEMANDES DE DEDOMMAGEMENTS (Art. L.141-1 du Code de l’Organisation judiciaire) :

A]           PLAINTE CONTRE X POUR LES PROCES NON EQUITABLES (Art. 6 du Convention de sauvegarde de Droits de l’Homme et des Libertés fondamentales)

                       B]           PLAINTE CONTRE X POUR LA PRISE A PARTIE (Art. L.141-3 du COJ)

                       C]           PLAINTE CONTRE X POUR LE DENI DE JUSTICE REPETITIVE ET AGGRAVE
                                                               (Article 434-7-1 du Code pénal)
                                                 
D]           PLAINTE CONTRE LES OCCUPANTS DOLOSIFS , DEBITEURS OBSTINEMENT RECIDIVES ET ILLEGAUX AVEC DE LA RESISTANCE ABUSIVE DE MES DEUX LOCAUX DISTINCT ET CONTIGUS SIS A TOULOUSE CENTRE   POUR LE VOL DE FONDS EN BANDE ORGANISEE AVEC  DE LA PREMEDITATION (ESCROQUERIE, EXTORSION, DETOURNEMENT DES FONDS), (Art. 311-1 et les suivants, 460, 461 du Code pénal, …)

E]            PLAINTE CONTRE X POUR L’ASSOCIATION DES MALFAITEURS (Art. 450-1 du Code pénal)




Mesdames, Messieurs ayant la charge du dossier,


I-

En ma qualité (ès qualités) de  propriétaire-créancier de deux locaux commerciaux distincts et contigus, sis à 4 rue Baour-Lormian, 31000 Toulouse :


REMARQUE       :

1.       Si La Justice française me tourne obstinément le dos pour faire valoir mes droits évidents et incontestables par des raisons explicitement citées, en ma qualité de propriétaire-créancier il est de mon devoir naturel d’expulser par tous les moyens les occupants débiteurs et illégaux de mes deux locaux commerciaux , ci-dessus.
Puisque les occupants débiteurs obstinément récidive et illégaux  de mes deux locaux commerciaux  se conduisent comme des caïds hors la loi et qu’ils se croient tous permis grâce à la maffia juridique.

2.       Comme d’autres (Les huissiers de justice, le nouveau conseil des occupants débiteurs obstinément récidive de mes locaux, …), Monsieur Le Procureur de La République de Toulouse aussi exige un avocat pour défendre mes intérêts. Mais il y a un problème, Le Bâtonnier du Barreau de Toulouse se lave les mains, les avocats compétents se déguerpissent et les avocats ordinaires déloyaux  s’ils ne séquestrent pas le dossier ils essayent le dévaloriser ou l’infirmer aux profits des occupants débiteurs obstinément récidives et débiteurs.

II-

Par suite une plainte déposée à mon encontre par Monsieur Christophe SANTAMANS après mes commandements no° 14 du 11 juin 2012 en RAR à Christophe SANTAMANS, SARL DONER BURGER REMBRANDT et SARL LE REMBRANDT ;

·         Par suite les convocations reçues à mon absence du 13 janvier et 12 avril 2013 de La Gendarmerie nationale de Muret et par suite à mes coup de téléphones depuis l’étranger les jours et à l’heure des convocations pour signaler mon absence à La Gendarmerie nationale de Muret, 31600

·         Par défauts des avocats et des huissiers de justice de Toulouse qui se soustraient à leurs obligations  par suite les décisions ci-jointes du 29 mars 2004 et du 19 novembre 2009 de Monsieur Le Procureur de La République de Toulouse,

·         Par suite à mes plaintes additive concernant du 22 août 2012 auprès Monsieur Le Procureur de La République de Toulouse,

·         Par suite d’une résistance obstinée particulièrement  abusive des occupants débiteurs obstinément récidives et illégaux  de mes deux locaux commerciaux distincts et contigu  sis à Toulouse, 4 rue Baour-Lormian, 31000 Toulouse,

·         Par suite à mes commandements no°14 du 11 juin 2012 en RAR à Monsieur Christophe SANTAMANS, SARL DONER BURGER REMBRANDT ET SARL LE REMBRANDT, qui sont les occupants ci-dessus décrits de mes deux  locaux commerciaux, et  à la lumière des tableaux  d’y1€ et d’y2€   des versements et des importantes sommes qui me sont dues par lesdits  occupants illégaux  depuis 1er janvier 1994 (cf. PJ no°5).

1]
Sous les bénéfices de mes plaintes précédentes explicites auprès de La Police nationale et auprès du Monsieur Le Procureur de La République de Toulouse depuis 8 août 2003, en RAR par suite une série de procès non équitables et la prise à partie par le Tribunal de Grande Instance de Toulouse et par La Cour d’Appel de Toulouse depuis le Référé no° 1308 du 12 juillet 1996 du même Tribunal.

2]
Le dessein nocif étant explicitement dévoilé :                                                                                                Je dépose solennellement mes  plaintes additives avec des demandes de dédommagements, ci-dessus,  pour les porter :

A)
Contre X pour les procès non équitable (Art. 6 du Convention de sauvegarde des Droits de l’Homme et des Libertés fondamentales).

B)
Contre X pour la prise à partie (Art. L.141-3 du Code de l’Organisation judiciaire).
Il est flagrant qu’il y a une prise de partie aux profits des défendeurs depuis le jugement en référé no° 1308 du 12 juillet 1996 du Tribunal Grande Instance de Toulouse (cf. mes plaintes auprès de Procureur Général de Toulouse du 8 août 2003 en RAR, qu’il les a transmis au Procureur de La République de Toulouse).

C)
Contre X pour le déni de justice répétitive et aggravé par suite la réponse officielle du Procureur adjoint de La République de Toulouse du 29 mars 2004 et par suite la décision officieuse de Monsieur Procureur de La République de Toulouse du 19 novembre 2009.
Effectivement, la réponse et la décision ci-dessus ne sont pas respectées par  les concernés ci-dessous qui se soustraient à leurs obligations ;
·         Le Bâtonnier des avocats du Barreau de Toulouse
·         Le Président de la Chambre départementale des huissiers de justice de la Haute-Garonne
Evidemment, les huissiers et les avocats de Toulouse refusent  défendre mes intérêts et faire valoir mes droits évidents et incontestables sans les consentements de leurs Bâtonnier ou Président respectif, selon mes commandements successifs et en RAR aux occupants débiteurs récidives et illégaux de mes locaux commerciaux, sis à Toulouse, qui sont à leurs quatorzième  le 11 juin 2012 avec une copie à Monsieur Le procureur de La République de Toulouse, entre autres.

D)
Contre les occupants débiteurs dolosifs, récidives et illégaux avec de la résistance abusive de mes deux  locaux commerciaux distincts et contigus sis à, 4 rue Baour-Lormian, 31000 Toulouse// qui sont les frères SANTAMAS Daniel (signataire décédé), Christophe et Christian ( !?), occupants non signataires illégaux avec de la résistance abusive et débiteurs obstinément récidives, SARL DONER BURGER REMBRANDT et SARL LE REMBRANDT qui travaillent de concert // Pour le vol de fonds en bande organisée avec de la préméditation (escroquerie, extorsion, détournements des fons) depuis 1er janvier 1994 et pour les multiples infractions délictuelles et criminelles précitées dans mes plaintes contre X du 22 août 2012 en RAR auprès Monsieur Le Procureur de La République de Toulouse, notamment par les articles du Code pénal ci-dessous :
·         Pour vole                           Art. 311-1 et suivants et 460, 461 du Code Pénal
·         Pour extorsion                Art. 312-1 et suivants du Code Pénal
·         Pour escroquerie           Art. 313-1 et les suivants du Code Pénal
·         Pour détournement      Art. 314-1 et suivants du Code Pénal

NOT : La demande récente des occupants débiteurs dolosifs,  récidives et illégaux ci-dessus pour les renouvellements fantaisiste  des baux par l’intermédiaire de leurs avocats, non considérable par le manque du sérieux,  était une manœuvre dolosive de leurs parts pour se régulariser  sans avoir acquitté leurs dettes et pour récidiver par la suite, comme c’est le cas actuel, ils sont en cessation de versements malgré leur avocat mis en demeure (cf. PJ no°5 notamment le tableau y2€  et  II-3b).

E)
Je porte une plainte contre X pour association des malfaiteurs.

3]
Je demande :

a)
Les condamnations des fautifs pour les faits explicitement précités.

b)
La réparation de mes préjudices selon les tableaux récapitulatifs d’y1€ et d’y2€, ci-joints, avec la remise des clés de mes locaux libres de toutes occupations.

A savoir qu’au 1er janvier 2013 les sommes qui me sont dues  par les occupants débiteurs récidives et illégaux s’élèvent à :
1.       Pour y1€= 620512€ dont 47158€ hors dommages et intérêts et hors astreinte
2.       Pour y2€= 935995€ dont 202793€ hors dommages et intérêts et hors astreinte
3.       Effectivement une astreinte de 500€ continue à courir depuis 11 juin 2012 par non respects de mes commandements successifs par les occupants débiteurs illégaux de mes deux locaux commerciaux (cf. commandements no°14 du 11 juin 2012).

SARL DONER BURGER REMBRANDT est en cessation de versements depuis 3ème trimestre 2011 (soit huit trimestres, soit deux ans) qui est déjà débitrice depuis 1er janvier 1994 (cf. Le Tableau y2€).                                                                                                                                                                  Le versement  de SARL DONER BURGER REMBRANDT par un virement bancaire d’une somme de 10611€ du 14 février 2013 étant et restante un acompte sur les sommes y2€ qui me sont dues.
(cf. PJ no°5).

NOT :
Les actions en réparation des préjudices ne souffrent pas de prescription.
Puisqu’il y a des actions engagées en justice avant le 19 juin 2008 (Loi no°2008-561 du 17 juin 2008, JO du 8 juin 2008).

c)
Après trois convocations successives concernant reçues (l’une de la Police nationale) :
Pourriez-vous me repréciser (éventuellement  par une copie de plainte concernant) par e-mail ou par courrier :
·         La qualité de porteur de la  plainte précédente  à mon encontre (Notamment  es qualité déclarée de M. Christophe SANTAMANS)
·         Pourquoi ?
·         Pour quels motifs ?
·         Fondement(s) de sa déclaration ?


Veuillez croire et agréer, Mesdames, Messieurs, l’expression de mes sentiments distingués.
Sous toutes réserves
 Le, 08 mai 2013





Pièces jointes :

1.       La décision officielle  du 29 mars 2004 du Procureur de La République de Toulouse 
2.       La décision officieuse du 19 novembre 2009 du Procureur de La République de Toulouse
3.       Mes plaintes du 22 août 2012 en RAR auprès Monsieur Le Procureur de La république de Toulouse
4.       Mes commandements no°14 du 11 juin 2012 en RAR aux occupants débiteurs et illégaux de mes deux locaux distinct et contigu, sis à Toulouse
5.       Mes tableaux récapitulatifs d’y1€ et d’y2€ au 1er  jour de ce mois-ci des versements et des sommes dues par les occupants débiteurs et illégaux de mes deux locaux distincts avec les dommages et intérêts majorées par une astreinte pour non respect de mes commandements no°14 du 11 juin 2012 par une résistance obstinée qui est particulièrement abusive malgré les interdictions des accès à mes locaux commerciaux à leurs usages pour des raisons précitées.


*Les présentes plaintes sont rédigées en trois exemplaires dont, la seconde originale est pour    Monsieur Le Procureur de La République de Toulouse qui le recevra avec les pièces jointes en RAR par La Poste du même jour.


RAR NO° :

·         RR119724295TR
·         RR119724281TR

http://immobilier-en.blogspot.com/p/blog-page_17.html