Par l’absence d’une autorité véritable, les services de la
justice qui se jettent les responsabilités mutuellement et continuellement pour
noyer la victime par des manœuvres dilatoires et par des abus, donc minable.
Puisqu’il s’agit d’un déni de justice chronique.
Puisqu’il s’agit d’un dysfonctionnement délibéré des
services d’une justice partiale.
Puisqu’il s’agit d’un complot, d’une conspiration des services de la justice contre la victime
avéré de la même justice partiale.
Puisqu’il s’agit d’une justice soumise à la mafia juridique.
Légitimement,
Le fait de dénoncer de tels crimes est un devoir pénal par
l’article 434-1 du Code pénal :
« Le fait, pour
quiconque ayant connaissance d’un crime dont il est encore possible de prévenir
ou de limiter les effets, ou dont les auteurs sont susceptibles de commettre de
nouveaux crimes qui pourraient être empêché, de ne pas informer les autorités
judiciaires ou administratives est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende. » (Article
434-1 du Code pénal).
Par les conséquences, le manque du courage de dénoncer les
criminels ci-dessus est un prétexte inadmissible et impardonnable, tout comme
le recel d’un crime ou/et la complicité d’un crime.
Un crime est un crime qu’il doit être puni. Ça va de soi.
« La démocratie est fondée sur la primauté du droit et
l’exercice des droits de l’homme. Dans un État de démocratique, nul n’est au- dessus de la loi et tous
les citoyens sont égaux devant elle. »
Déclaration universelle
sur la démocratie.