Les tableaux explicites des versements et des sommes dues
d’y1€ et d’y2€ au 31 octobre 2013, par des occupants débiteurs et illégaux de
deux locaux commerciaux contigus,
atteste et confirme le dol par les demandes de renouvellements
fantaisiste du 30 juillet 2012 par l’avocate Anne MARIN et réactualise le
constat de ma réponse concernant en RAR du 5 août 2012. http://immobilier-en.blogspot.fr/2012/08/la-riposte.html
Effectivement au 31 octobre 2013 les sommes dues par les occupants
de deux locaux, débiteurs et illégaux, par les tableaux d’y1€ et d’y2€
s’élèvent hors dommages, intérêts, frais et astreints (HDIFA) à :
Y1€ = 042375€/HDIFA
Y2€ = 215087€ - 10611€ = 204476€/HDIFA
TOTALE = 246851€/HDIFA
La situation ci-dessus,
par des résistances abusives et obstinées des occupants débiteurs
récidives et illégaux de deux locaux commerciaux contigus, justifie une
pénalité mensuelle de 22% sur les sommes non acquittées jusqu’aux la remise des
clés de deux locaux contigus concernant, libres de toutes occupations à partir
de 1er décembre 2013 par la mise en demeure du 25 novembre 2013, en
RAR.
C’est dommage que, par les divers prétextes, l’Etat, la Police nationale et La justice
française laissent les faire en toutes connaissances des choses par des
plaintes successives concernant auprès des autorités.
Par suite de la réponse du 28 octobre 2013 du chef du cabinet de la directrice des affaires criminelles et des grâces du Ministère de la justice, le procureur général près la cours d’appel de Toulouse doit réagir rapidement pour activer enfin son procureur de La République de Toulouse pour mettre l’ordre dans sa juridiction et pour considérer les plaintes successives de la victime depuis 8 août 2003 et pour faire valoir les droits légitime, évidents et incontestables de la victime.
Par suite de la réponse du 28 octobre 2013 du chef du cabinet de la directrice des affaires criminelles et des grâces du Ministère de la justice, le procureur général près la cours d’appel de Toulouse doit réagir rapidement pour activer enfin son procureur de La République de Toulouse pour mettre l’ordre dans sa juridiction et pour considérer les plaintes successives de la victime depuis 8 août 2003 et pour faire valoir les droits légitime, évidents et incontestables de la victime.