Les sociétés se pourrissent par les impunités des abus et
par les partialités aggravées de la justice par l’absence d’une autorité
véritable qui doit normalement tirer les
oreilles de la justice fautive pour ses manques de devoirs.
Évidemment, par l’absence d’une autorité véritable, la
justice abuse son pouvoir, ses fonctions, les confiances,…, d’une manière
récalcitrante, pour dysfonctionner
délibérément les systèmes étatique pour
ses fins.
D'où la définition de la mafia juridique et judiciaire. Ça
va de soi.
On dit que le poisson commence à pourrir par la tête.
Idem pour les nations.
Le manque d’une autorité véritable accélère les abus divers
dans les systèmes étatiques et, les
impunités des abus accélèrent le pourrissement de la nation qui se fait couler
à la fin.
C’est déjà vérifié par les crépuscules des choses avant
leurs disparitions dans l’histoire.
Le capitalisme est comme un requin qui est obligé de
continuer de nager sans arrêt, sous peine de couler.
Un requin pourri est condamné d’avance à mourir.
Donc, un requin malade est un requin mort.
Idem pour le capitalisme.
Le capitalisme est un requin vorace qui a ses propres
faiblesses.
C’est un prédateur à qui le repos est interdit, même malade.
C’est la faiblesse du requin qui l’entraîne dans les abîmes
tôt ou tard.
Conclusion :
Les sociétés de la
consommation ne sont pas sans risque.
La baisse continuelle
de la consommation des sociétés et les pourrissements généralisés peuvent couler
le navire du capitalisme comme un requin fatigué de nager.
Question :
Après la chute du
communisme est-ce la tour du capitalisme ?
Note:
Note:
La chute du
capitalisme entraînera forcement la chute d’hiérarchie de l’oligarchie avec qui
est lié étroitement.
N.G.