LA MAFIA TOULOUSAINE.
LA MAFIA TOULOUSAINE EST UNE AFFAIRE D’ÉTAT QUE L’ÉTAT NE PEUT PLUS L’IGNORER.
LA MAFIA TOULOUSAINE JURIDIQUE ET JUDICIAIRE EST UN FLÉAU DE LA FRANCE QUI DOIT ÊTRE ÉRADIQUÉE PAR L’ÉTAT FRANÇAIS POUR ASSAINIR LE SYSTÈME S’IL NE VEUT PAS D’ÊTRE SUSPECTÉ COMPLICE DE LA MAFIA JURIDIQUE ET JUDICIAIRE.
PAR-CE QUE, LES VOLEURS DES FONDS AUSSI DOIVENT ETRE PUNIS TOUT COMME LES VOLEURS DES POMMES. C’EST LÉGITIME.
La panocratie
L’EUROPE PARTIALE:
BAS LES MASQUES. L’EUROPE EST UNE PANOCRATIE PHALLOCENTRIQUE NÉGATIVE AGGRAVÉE.
samedi 25 janvier 2014
LE DENI DE JUSTICE AGGRAVE.
Il s'agit de La mafia juridique contre sa victime pour dysfonctionner les services de la justice par la conspiration et par les complicités.
lundi 20 janvier 2014
Le Bâtonnier anonyme.
Les minables d’hier sont des minables d’aujourd’hui.
C’est toujours la même chose par des réponses
officieuse au visage caché!
Empruntée des terroristes et des criminels, la cagoule
s’impose de plus en plus au tenu vestimentaire des autorités judiciaire
anonyme.
C’est un recel juridique au profit de la maffia par la
complicité.
Effectivement, Le Bâtonnier de l’Ordre des avocats de
Toulouse près de La cours d’appel de Toulouse
est conforme aux membres fautifs précités de son Ordre pour répondre au
visage caché à la victime de la maffia juridique d’une manière anonyme.
Manifestement le fait de se présenter au visage caché d’une
manière anonyme pour répondre à la
victime de la maffia juridique est à la
mode dans le milieu des autorités de la juridiction Toulousaine pour se
soustraire facilement à ses obligations et pour se déguerpir par une prétexte
ou une autre.
La juridiction
Toulousaine est une épave et ça se reconfirme à tous les niveaux.
La justice française est incontestablement sous l’emprise de la maffia juridique qui se
serre les coudes face à des lourdes charges qui pèsent sur eux (cf. les plaintes successives depuis 8
août 2003).
Ils veulent obstinément continuer de pourrir avec de l’habilité la vie
de leurs victimes et de faire des nouvelles victimes en toutes impunités.
Qu’elle dommage !
On comprend bien la réponse du Député-maire de Toulouse du 24 avril 2009 par
laquelle souhaite de bonne courage à la victime pour faire valoir ses droits
jusqu’à là sans succès, malgré les
multiple démarches effectuées.
Depuis le courage ne manque pas, mais toujours sans succès
pour faire valoir les droits évidents et incontestables à cause des minables d’hier
et d’aujourd’hui qui sont toujours de plus en plus confiants de leurs impunités à cause des
autorités fuyardes et hypocrites.
Il faut une volonté étatique pour passer un coup de balai et
de faire le ménage dans le système qui est tenu habilement par la maffia juridique ainsi que pour dédommager la victime.
Mais là, c’est une autre histoire.
Par ce que la panocratie négative se dévoile explicitement.
Mais en tout cas, il
faut ôter le monopole des avocats qu’ils sont
devenus insupportables pour des raisons explicitement exposées, pour que
la victime puisse avoir le choix pour faire valoir ses droits évidents et incontestables
à tous les niveaux de la procédure par
d’autres moyens que le passage obligatoire par les avocats cupides, déloyaux,
abusives et solidaires qui font l’obstacles à la justice, consciemment ou/et
délibérément.
Ainsi des huissiers
de justice n’auront pas non plus des
prétextes pour refuser de délivrer les actes pour des victimes qui puissent
faire valoir leurs droits devant les juges des référés, de fonds, d’appel et de cassation.
Dans les cas
similaires exposés dans ce blog il faut
pouvoir s’en passer des avocats qui font par la complicité l’obstacle à la justice pour pourrir la vie
des victimes.
Dans cette affaire les juges se
cachent derrière des huissiers de
justice, les huissiers de justice se cachent derrière des avocats et les avocats se cachent derrière des juges
pour boucler hypocritement la boucle de
refus et de déni de justice aux profits de fautives récidives. Et, l’Etat
français laisse les faire en toutes connaissances des choses.
L’astreint de 500€ depuis 11 juin 2012 se justifie à la
charge du Barreau de Toulouse qui ignore aussi
les tableaux récapitulatifs des sommes importantes d’y1€ et d’y2€ dues
au propriétaire-créancier à cause d’eux et à cause de leurs résistances
abusives [cf. les préjudices (f, x, y et z) €].
Par son complicité, Le barreau de Toulouse se comporte comme
une association des malfaiteurs contre leur victime qu’ils l’ont escroqué depuis le fax du 23 février 1996 d’un de leur
ancien conseil de l’Ordre, Maître Philippe DUMAIN.
Que, par ce fait, les préjudices de la victime du Barreau de
Toulouse s’élève au 1er janvier 2014 d’y1€+y2€= 246851 €/ Hors tous.
Qu’on peut facilement comprendre la réaction de leur victime contre laquelle ils conspirent
habilement par les abus de monopole, fonction, pouvoir, confiance, … etc.
Déontologiquement ils sont amoraux et nuls, puisqu’ils se
serrent les coudes avec leurs membres fautifs contre la victime. C’est une
complicité qui n’est nullement déontologique par le manque de la discipline.
Donc, la crédibilité des membres du Barreau de Toulouse est
quasi nulle.
Ils manquent beaucoup de sérieux par l’exposé des faits ci-dessus.
De surcroît,
ils ont décidé d’asphyxier leurs victime par la complicité de leurs clients
débiteurs illégaux qui sont en cessation délibéré des versements, récidive et
longue durée pour avoir une prétexte de plus pour refuser la requête de leurs
victime comme c’est le cas par la réponse officieuse au visage caché du
Bâtonnier de l’Ordre des avocats de Toulouse du 31 décembre 2013, ci-dessous.
C’est très
habile de leurs parts mais aussi très pervers.
Par ce
dossier épineux le constat est que :
Entre autre, le déni de justice par le
recel des preuves et de la vérité est une spécificité de la justice française,
tout comme le refus automatique et le dysfonctionnement délibéré des services
de la justice que l’état française a décidé de l’ignorer malgré les articles
L.141-1, L.141-2 et L.141-3 du Code de l’organisation judiciaire pour se
soustraire à ses obligations et pour de ne pas dédommager la victime du système défectueux par les préjudices
(f, x, y et z) € qui lui sont dues.
C’est un déni de justice en bloc contre la victime qui
est conforme à la panocratie négative démesurée.
La question
est la suivante :
Comment payer ses impôts en ces temps difficile, si la
justice partiale fait de la résistance abusive contre la victime d’une bande
des escrocs juridiquement organisée qui sont des voleurs de ses créances
d’immobilier qui s’élèvent au 1er janvier 2014 à 246851 euros/ Hors
tous ?
Le ministère de l’économie et des finances auquel rien n’échappent doit réagir !
Qu’il a
sûrement constaté par les déclarations de la victime la dégradation de ses
revenus d’immobilier depuis 1er janvier 1994 pour pouvoir interroger les occupants
débiteurs et illégaux de ses locaux
commerciaux précités (cf. les tableaux récapitulatifs d’y1€ et d’y2€ des
versements et des sommes dues qui sont publiés chronologiquement dans les pages
de ce blog).
Labels:
Le déni de justice
Que, la vérité s'éclate.
lundi 13 janvier 2014
LA FAILLITE DE LA JUSTICE FRANCAISE.
L’hypocrisie suivante est bien connue : « Tout va
bien Madame La Marquise ! ».
Mais avec les recels des dénis de justice chronique et les
dysfonctionnements délibérés des services de la justice partiale par des
autorités fuyards qui se soustraient délibérément à leurs obligations.
Circulez ! Il
n’y a rien à voir.
La non assistance délibérée du Parquet général près la cours
d’appel de Toulouse à la victime de la maffia juridique les atteste d’une
manière récidive (cf. la réponse du Parquet général du 31 décembre 2013, les
notes 1 et 2, ci-dessous), malgré les refus chroniques des avocats de Toulouse
tout comme les huissiers de justice de Toulouse (cf. le déni de justice
chronique).
Le parquet général près de La cours d’appel de Toulouse
refuse d’admettre qu’il y a un déni de justice généralisé dans sa juridiction
en épave qui fait l’obstacle à la victime de la maffia juridique pour résoudre
les contentieux en civil pour faire valoir ses droits évidents et
incontestables.
Le déni de justice chronique dans la juridiction toulousaine
est un fait avéré, notamment par les huissiers de justice et par les avocats
Toulousaine, tout comme par le parquet de Toulouse.
Effectivement et sans surprise d’une réponse venant
d’une épave juridictionnelle par le manque des autorités compétentes ;
L’avocat général du Parquet général de Toulouse se conforme
à des précédentes réponses du procureur général et procureur de la république
du Parquet de Toulouse pour se déclarer incompétent à son tour tout comme les
autres autorités avant lui alors que les avocats continuent de faire de la
résistance par divers prétextes.
Manifestement en France il y a une pénurie des autorités compétente pour
résoudre les problèmes liés.
Tout le monde continue de renvoyer la balle des
responsabilités aux autres. C’est plus facile de se soustraire à ses
obligations que prendre le taureau par les cornes.
Pour l’avocat général du parquet général de Toulouse il n’y
a pas d’escroquerie juridique aggravée
en bande organisée ni des erreurs judiciaire délibérés entre autres
faits délictuelle et/ou criminel avérés (cf. les plaintes déposées depuis 8
août 2003).
C’est conforme à la loi de la jungle. Et en prime, des
recels, des vols, des abus de pouvoir, des
abus de fonction et de confiance.
La décadence est en marche grâce à la panocratie
négative aggravée.
C’est une régression qui est aussi un choix étatique.
En tout cas et quoi
qu’il arrive, L’Etat français reste
indéniablement responsable et il est redevable à la victime de la maffia juridique
les sommes (f, x, y, et z) € pour des raisons explicitement précitées.
Ce sont des acquis ! http://immobilier-en.blogspot.fr/p/blog-page_11.html
Dans cette affaire la justice française
est prit plusieurs fois la main dans le sac par ses propres actes officiels qui
sont rendus publique (cf. les plaintes successives depuis 8 août 2003).
On ne peut
être plus clair.
Naturellement, comme une mauvaise joueuse elle conteste et ignore obstinément les faits par les abus
de pouvoirs.
Évidemment ça ne change rien au résultat.
Un acquis reste un acquis
tout comme une dette reste une dette.
Conformément à des valeurs d’un état de droits, La justice
française doit payer les pots cassés à
la victime de la maffia juridique par
ses fautes délibérés et elle doit sanctionner les fautifs, délinquants
et des criminels par des plaintes déposées contre X depuis 8 août 2003 (cf.
Note-1 et Note-2, ci-dessous).
A présent, la balle revient dans le camp des avocats civil
qu’ils ne peuvent plus se défaire ni se déguerpir à leurs responsabilités pour
faire valoir les droits légitime, évidents et incontestables de la victime.
Il faut qu’ils acceptent la vérité qu’elle est toujours
amère et difficile à digérer au lieu de la considérer comme une injure ou/et
comme une insulte par ce qu’elle les dérange.
Il ne faut pas oublier non plus que, grâce à la résistance
des avocats que les parties adverses illégaux et débitrices en cessation de
versements continuent à se dicter librement comme elle veulent.
Les préjudices de la victime s’accumulent d’une manière
colossale.
Le Bâtonnier de
l’Ordre des avocats près de La cours d’appel de Toulouse ne peut plus
se laver les mains comme c’était le cas au par avant par ce qu’il se sentait
injurié ou/et insulté par les faits de ses membres du conseil des avocats
fautifs précités explicitement, mais il doit réagir comme une autorité
responsable et digne de ce nom. Il doit
aussitôt prendre l’acte la réponse du Parquet général près La cour d’appel de
Toulouse du 31 décembre 2013 pour
désigner un avocat compétant sous sa responsabilité pour mener rapidement cette
affaire à son terme. Un avocat compétant qu’il doit accepter expressément le
dossier concernant et qu’il est en mesure de défendre rapidement les intérêts
de la victime en bonnes et dues formes avec les remises des clés des locaux et
des sommes dues , que par les précautions, ses honoraires raisonnables en
usage dans la région Toulousaine seront couverts au fur
et à mesure par les encaissements des
sommes d’y1 et d’y2€, qui sont incontestablement dues à la victime par
les parties adverses fautives et récidives par leurs résistance abusives.
Le fait d’informer la victime par une liste des avocats
compétents qu’ils ne répondent pas ou /et qu’ils refusent de défendre les
intérêts évidents et incontestables de la victime n’est pas suffisant pour se
déresponsabiliser. Bien au contraire c’est un déni de justice masqué d’une
manière délibéré aux profits de la maffia juridique et de leurs clients
fautifs, volontairement ou involontairement qui ne change rien au résultât que
la victime continu à souffrir par ce fait.
Donc ;
Il faut désigner un avocat compétant et le surveillez de
près, au lieu de jouer au cache-cache comme des enfants ou/et de chercher des
prétextes comme des faux fuyants.
Pour cela, un peut de sérieux et de bon sens sont
suffisants.
C’est simple comme une lettre à La Poste.
NOTE-1 :
Les articles du Code pénal ci-dessous balayés par Le Parquet général près à la cour
d’appel de Toulouse par un simple refus récidive ou/et d’appréciation partiale aux
profits de la maffia juridique et des fautifs pour se déclarer
incompétent au final pour de ne rien résoudre :
Principe généraux 111-4,
111-5
Responsabilités 121-1,
121-2, 121-3
Auteurs 121-4,
121-5
Complices 121-6,
121-7
Des peines 132-16,
132-71, 132-72
222-17,
222-18, 222-18-2
Abus de faiblesse 223-15-2
et d’ignorance
Discrimination 225-1,
225-2, 225-4
226-10
Vol 311-1,
311-2, 311-4, 311-9
Extorsion 312-1,
312-2, 312-3, 312-6, 312-10
Escroquerie 313-1,
313-1/26, 313-2, 313-3, 313-3/6
Détournement 314-1,
314-3, 314-10 et les suivants 11, 12, 13
Recel 321-1,
321-2
322-1
L’atteinte à 432-1,
432-2, 432-11, 432-15,
l’autorité d’état
433-1,
Déni de justice 434-1, 434-4, 434-7-1
Faux 441-1,
441-4, 441-5
Associations 450-1,
450-1/3, 450-1/4, 450-3, 450-4
des malfaiteurs
Vol 460,
461
Diffamation R.621-1
NOTE-2 :
Les articles du Code de l’organisation judiciaire ci-dessous
balayés par Le Parquet général de
Toulouse près La Cour d’appel de Toulouse pour ignorer les dénis de justices
chronique par refus de réparer les préjudices de la victime, causées par les
dysfonctionnements délibérées des services de la justice :
L.141-1, L.141-2, L.141-3
Cf. les plaintes successives depuis 8 août 2003.
CONCLUSION :
Les autorités fuyardes, le système, le
régime, la justice, l’état, … sont tenus habillement par La maffia de La république.
C’est évident !
Puisqu’il n’y a pas d’autre
explication tangible.
La justice bidon de la république
panocratique négative se reconfirme.
La
maffia juridique perverse, récalcitrante et récidive se recel bien
hypocritement derrière le masque d’état de droits.
Le masque d’état de droits est un
terme qui est vidé de son sens par la maffia juridique, comme une coquille qui
est vidée de sa chair par un pécheur.
Comme on dit, les apparences son
trompeuses. Dont, souvent du toc.
C’est la faillite de La justice
française.
mercredi 25 décembre 2013
LA PLAINTE OUVERTE.
L’ETAT FRANÇAIS REDEVABLE LES SOMMES
(f, x, y et z) € POUR LES DÉNI DE JUSTICE CHRONIQUE ET DÉLIBÈRES.
Plus de quinze jours étant écoulés depuis la réception du 6
décembre 2013 par Le Parquet général de Toulouse, le procureur général près de la cour d’appel de Toulouse reste
toujours muet par suite à la requête en RAR
du 5 décembre 2013.
C’est pas du tout rassurant.
Comme d’habitude c’est dilatoire et alarmant. Et ce depuis les plaintes du 8 août 2003
auprès le procureur général près la cour d’appel de Toulouse, qui s’est dit incompétent par sa réponse du 15
septembre 2003 sous la référence 1212/03 B9 pour se soustraire à ses
obligations en envoyant le dossier au procureur de la République de Toulouse
qu’on connaît la suite. Contrairement
à la réponse récente du 28
octobre 2013 du Cabinet des affaires criminelle et de grâce du Ministère de la justice, selon laquelle le procureur
général près la cour d’appel de Toulouse est l’autorité compétente, à qui, le Chef du cabinet ministériel a transmis la
requête.
Qui est le menteur ?
Une chose est sur, l’erreur grossière du juge (en
l’occurrence Le Président) des référés no° 1308 du 12 juillet 1996 du Tribunal
de Grande Instance de Toulouse qui confonde le document capital du dossier de
demandeur aux profits des défendeurs que,
par la suite et par la partialité, ni les juges des fonds ni Le Président de la cour d’appel de Toulouse
ne l’ont corrigés par divers prétextes
(cf. Les plaintes du 8 août 2003 auprès le procureur général près de la
cour d’appel de Toulouse).
D’où la justice bidon.
Une autre chose est sur aussi, le constat irréfutable du
mensonge officiel d’un officier ministériel par une réponse en RAR du 28
juillet 2005, qui est le président déloyal de la chambre des huissiers de
justice de la Haute-Garonne qui a soudainement oublié qu’il a délivré des actes
pour la victime lors des procès précédents pour la même affaire pour se
soustraire à ses obligations et pour refuser de délivrer les actes par divers
prétextes bidon parla suite et ultérieurement toujours pour les profits des défendeurs (intimes)
que, tous les huissiers de la chambre l’ont suivie par leurs refus de délivrer
les actes pour la victime.
D’où la maffia juridique.
Depuis ce jour-là, la parole des huissiers de justice de la
chambre départementale de la Haute-Garonne ne vaut plus rien à cause de leur
président menteur de la chambre, à cause pour sa déloyauté, à cause son abus de
confiance et à cause de son abus de fonction et de pouvoir pour se soustraire à
ses obligations.
Est-ce le cas aussi pour le procureur général près la cour
d’appel de Toulouse pour couvrir les fautifs ? En l’occurrence les
escrocs en bande (juridiquement) organisée ? Est-ce le cas aussi pour les protéger
abusivement par le bouclier de sa
fonction?
Puisque, s’il se soustrait à ses obligations c’est forcément
pour protéger les fautifs solidaires de sa juridiction. C’est une partialité
grave qui mène directement aux dénis de justice délibérés et chronique de sa
juridiction, qui est le cas.
Une autre chose, le procureur général près la cour d’appel
de Toulouse a resté un observateur depuis sa réponse du 15 septembre 2003,
ci-dessus, sans avoir bougé son petit doigt pour la victime, malgré la gravité
de la situation et la conjuration criée par la victime.
Pourquoi changera-t-il son stratégie après la réponse du
cabinet des affaires criminelle et de grâce du ministère de la justice du 28
octobre 2013, ci-dessus?
Pour cela il faut une volonté d’Etat qui semble d’être
absente.
Dans une situation et des circonstances pareilles et par sa
gestion défectueuse ou/et par son manque
d’autorité sur les membres fautifs de sa
juridiction, le procureur général près la cour d’appel de Toulouse se fait
automatiquement le chef de la maffia juridique qu’il veuille ou pas.
Les circonstances l’oblige peut être ?
Mais, ce n’est pas une excuse. Sa fonction l’oblige de
combattre le crime dans sa juridiction et non pour l’encourager.
La demande auprès d’Etat de la dissolution de l’épave de sa
juridiction n’est pas un hasard.
La juridiction du procureur général près de la cour d’appel
de Toulouse ne rempli plus sa fonction pour protéger les victimes, en
l’occurrence la victime de la maffia juridique de sa juridiction et des fautifs
hors la loi.
Par les faits graves et restreints ci-dessus :
La victime (propriétaire créancier) n’est pas responsable,
en aucune façon, des conflits engendrés, générés et alimentés abusivement et
délibérément par les délinquants en bandes organisées que, de conséquence, ils
sont seuls à supporter les entières responsabilités déjà explicitement engagées
par des plaintes et commandements successives
et par les tableaux récapitulatifs des versements des occupants illégaux de deux locaux
commerciaux contigus et des sommes dues depuis 1er janvier 1994 (cf.
y1€ et y2€).
Les occupants illégaux et débiteurs en cessation des
versements chronique et délibérés de deux locaux commerciaux ci-dessus, en
l’occurrence les frères SANTAMANS, SARL DONER BURGER REMBRANDT et SARL LE
REMBRANDT (alias la maffia de la rue Baour-lormian à Toulouse centre ; cf.
le contenu de ce blog) qui travaillent de concert sous la gérance de Christophe
SANTAMANS n’ont aucune raison ni motif
officielle et valable pour leurs actes nocifs et gratuits ni pour leurs résistances abusives et perverses.
Ils doivent payer les sommes dues d’y1€ et d’y2€ à leurs propriétaire-créancier
avec une pénalité de 22% par mois de retard depuis 1er décembre 2013
(cf. La mise en demeure du 25 novembre
2013 que, Maître Anne MARIN, l’avocate adverse, et, Procureur général près de
la Cours d’appel de Toulouse ont reçus une copie chaqu’un(e)), jusqu’à
l’acquittement totale des sommes dues à leurs propriétaire-créancier et jusqu’à la remise des clés des deux locaux
commerciaux qu’ils occupent obstinément
en hors la loi.
Dans des tél conflits délibérés par les délinquants en
bandes organisées, la victime ne fait que défendre vainement ses droits et ses
intérêts évidents et incontestables.
Les délinquants en bande organisées ci-dessus sont confiants de leurs impunités grâce à la protection de la juridiction Toulousaine.
Les délinquants en bande organisées ci-dessus sont confiants de leurs impunités grâce à la protection de la juridiction Toulousaine.
D’où la justice minable.
La panocratie négative aggravée étant en cause, La République s’avère impuissante face à la maffia juridique
à cause de sa constitution qui permet aux autorités concernées de fuir ou/et se
soustraire à leurs obligations de
résoudre les problèmes liés et connexes aux dysfonctionnements délibérés des
services de la justice aux profits de la maffia juridique et ses clients
fautifs, ci-dessus.
D’où l’hypocrisie étatique qui génère inévitablement le
clientélisme et la corruption juridique.
Étant tenu pour des raisons ci-dessus, l’Etat français doit
assumer ses responsabilités par les articles L.141-1 et L.141-3 du Code de
l’organisation judiciaire pour réparer les dommages de la victime de la maffia
juridique et lui rendre les droits évidents et incontestables avec les clés de
ses locaux libres de toutes occupations et c’est en tout cas. Cf. (f, x, y, z)
€. http://immobilier-en.blogspot.fr/p/blog-page_11.html
C’est légitime.
La balance juridique à deux poids abusifs, souvent évoquée
par les médias, ne peut qu’attester une
justice bidon d’un état de non droits, partial et hypocrite.
Pour le même résultât, une hypocrisie étatique n’est pas si
différente qu’une dictature étatique, sinon plus grave par ses fausses espoirs
générés par ses services défectueux et des prétextes bidon pour être pervers.
Ce ne sont pas des manières pour rétablir les confiances perdues
de ses contribuables et de ses partenaires.
Puisqu’il y a toujours un retour adéquat du bâton tôt ou
tard, souvent avec les dommages et intérêts.
La perversité n’a jamais créé des confiances durables sinon
de la corruption de plus en plus aggravées jusqu’au pourrissement irréversibles
des choses.
Dans cette affaire l’Etat français n’ignore rien depuis les
plaintes du 8 août 2003 auprès le procureur général près La Cour d’appel de Toulouse et les
suivantes auprès les différentes autorités diverses et variées, fuyardes et
hypocrites.
Des plaintes selon lesquelles la justice Toulousaine par sa
partialité a créé une situation aux profits de la maffia juridique et aux
profits des fautifs délinquants hors la loi qui la perdure abusivement par les
dénis de justice chronique délibérés, et, c’est d’une manière hypocrite et perverse.
C’est une épave juridictionnelle qui est bonne à dissoudre.
Puisqu’elle est incapable pour faire la marche arrière pour
réparer ses erreurs délibérées aux profits de la maffia juridique et ses
clients fautifs et hors La loi. Des erreurs qui sont rendues explicitement publique (cf. le contenu de ce blog).
Une épave juridictionnelle récalcitrante et nocive qui est indigne de sa fonction pour pouvoir délibérer
au nom du Peuple français.
Conclusion :
Dans cette affaire, l’Etat français est entièrement responsable
pour avoir se soustraire à ses obligations en toutes connaissance des choses
explicites. Il doit se soumettre dignement aux articles L.141-1 et L.141-3 du
Code de l’organisation juridique, ci-dessus, pour réparer l’ensemble des
dommages (f, x, y, z) € causés à la
victime par les fonctionnements défectueux du service de la justice, lui rendre les clés de ses locaux avec l’ensemble
de ses droits légitimes et assurer sa
sécurité.
C’est évident et incontestable.
Mais aussi c’est irréfutable.
Cela va de soi.
N.G.
jeudi 12 décembre 2013
L'autorité judiciaire compétente: Le procureur général près La Cour d'appel de Toulouse.
La Poste doit assurer les suivis des courriers en RAR que, leurs distributions sont sous ses responsabilités.
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le déni chronique de justice,
Les articles L.141-1 et L.141-3 du Code de l'organisation judiciaire
Que, la vérité s'éclate.
mercredi 4 décembre 2013
Le clientélisme.
Au final et inévitablement, le clientélisme et la corruption effrénés génèrent des violences.
vendredi 29 novembre 2013
La justice minable de la panocratie négative.
Pour la justice minable de la panocratie négative il est
plus facile de laisser crever la victime que d’éradiquer la maffia juridique nuisible
et de faire face à des malfrats, à des criminelles, à des escrocs en bande
organisées, etc. qu’ils sont ignorés
délibérément par les torchons du
procureur de la république anonyme de Toulouse et en toutes connaissance des choses par des
plaintes successives de la victime depuis 8 août 2003. C’est avéré (cf. le
contenu explicite de ce blog).
C’est un acte plus grave qu’un simple abus de pouvoir ou/et de
fonction du Parquet de Toulouse grâce à l’impuissance de La République, dans
laquelle et chaque occasion, les autorités fuyards et hypocrites évoquent les
séparations des pouvoirs par la constitution pour renvoyer la responsabilité
aux autres et pour noyer le poisson.
Cette situation reconfirme que, l’Etat français est à la
dérive, sans capitaine ni pilote pour se réduire à un état de non droits.
Puisqu’avec des pareilles combines de se renvoyer continuellement les responsabilités on ne résous rien du tout.
Puisqu’avec des pareilles combines de se renvoyer continuellement les responsabilités on ne résous rien du tout.
Ils ont trouvé la combine pour dysfonctionner délibérément
les services de la justice française à leurs profits, si ce n’est pour le
clientélisme qui occupe l’actualité.
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