La justice française
est responsable du dysfonctionnement de ses services aux profits de la mafia juridique et judiciaire et
aux dépenses de la victime, en l’occurrence La CEDH.
Le fait de renier ou/et d’ignorer la vérité par des
manœuvres criminelles ne change rien à la vérité dévoilée. C’est du
négationnisme.
Puisque, le fait de dysfonctionner délibérément et
continuellement les services de la justice contre la victime est un fait
criminel. C’est évident.
Idem pour la réponse partiale de la deuxième section de La Cour européenne des droits de l’homme du
1er février 2006 sous la référence CEDH-LF11.0R(CDI) VL/EFY/it
, à la requête n° 45255/04 Guler c.
France. https://www.youtube.com/watch?v=IPWIoCO5HTg&list=UU5zYPXgT6IVMCtc7xJI8k0w
Une réponse
négationniste et contestable de La CEDH qu’elle ne peut plus camoufler l’injustice
et le déni de justice française, explicitement dévoilés.
« Compte tenu de
l’ensemble des éléments en sa possession, et dans la mesure où elle était
compétente pour connaître des allégations formulées, la Cour n’a relevé aucune
apparence de violation des droits et libertés garantis par la Convention ou ses
Protocoles. » (Sic.).
C’est bien au contraire, l’injustice et le déni de justice
sont bien attestés par les dossiers explicites qui se sont publiées sur ce
blog.
Pour mémoire ;
I-Sur la requête du 6 /2/2005 reçue sous le n° 45255/04 les
allégations formulées avaient été appuyées sur :
A)
Article 6-1 de la Convention
B)
Article 13 de la Convention
C)
Article 1 du Protocole additionnel
II-Que, la justice n’est toujours pas faite. C’est le
blocus complet qu’il est orchestré habillement d’une manière minable. Que, dans
ce cas précis le mot minable n’est pas assez fort ni une injure ou une insulte,
puisqu’il évoque la perversité et l’abus de fonctions et des pouvoirs des
esprits du système juridique et judiciaire en exercice et que les avocats ne
sont pas capables de défendre les intérêts de la victime contre le système qui
se disent de ne pas être en mesure de, s’ils ne se déguerpissent pas ou ne
séquestrent pas abusivement le dossier ou pour dépouiller le dossier pour
perdre les procès déloyalement tout en faisant payer son client, etc…, que des
manœuvres dolosives.
Par contre, la responsabilité de La CEDH est
incontestablement engagée pour son manque du sérieux et pour sa partialité, qui
ont mis la victime délibérément dans une
position de face à face avec une organisation puissante et nuisible qu’est la
mafia juridique et judiciaire au sein de la justice française, qui semble d’avoir
des bras long, aussi, au sein de La Cour européenne des droits de l’homme pour
obtenir une telle réponse à sa faveur et pour étouffer la victime depuis.
Donc dans l’Europe,
les Conventions et ses protocoles garantissent les droits et les libertés sur
l’apparence mais, pas sur le fond.
Dans ce cas, l’éclatement de l’Europe semble d’être
inévitable pour son hypocrisie et pour son abus de pouvoir qui rendent les
Droits de l’homme fictifs (cf. le contenu du blog).
Puisque, avec les Droits de l’homme fictifs, l’Europe se dévoile illusoire comme les
mirages du désert condamnés d’avance à se dissiper.
Il suffit d’être conscient des faits pour condamner l’Europe des mensonges et ses marchands du
temple.
C’est L’affaire du
Conseil de l’Europe et du Parlement européen d’interroger, de condamner et de
corriger les actions défectueuses de son système juridique et judiciaire et de
l’assainir au lieu de laisser faire aux bandits.
La confiance se mérite.
Il s’avère que La
CEDH a contribué au déni de justice européen par sa décision ci-dessus aux
profits de la mafia juridique et judiciaire à son tour.
Il est difficile de faire confiance à La CEDH par suite un
tel constat par le vécu qui La ternit et La discrédite.
Puisque le doute s’est installé sur la justice européenne,
qu’elle est dans le jeu de la mafia juridique et judiciaire qui mène la danse
pour faire de plus en plus de victimes.
Personne ne peut dire que l’Europe n’a pas été avertie et informée pour les faits.
L’Europe continue de renier et d’ignorer les faits d’une
manière délibérée.
Et, évidemment, ça ne peut perdurer ainsi.
Désormais, l’Europe est sommée de lever le barrage devant
la Justice française contre la victime de la mafia juridique et judiciaire
qui ne peut l’accéder dignement malgré ses
efforts ardent pour faire valoir l’ensemble de ses droits évidents et
incontestables pour des raisons explicitement évoquées.
Une Europe sans justice n’est pas une Europe décrite aux
citoyens européens.
C’est une Europe de panocratie phallocentrique négative
aggravée, qu’elle est bien voilée aux yeux des européens et aux yeux des
citoyens du monde.
C’est un masque doré qui cache l’injustice comme un loup
déguisé en mouton.
Mais les masques
tombent aussi et la vérité s’éclate, comme d’habitude.
Et, La France reste toujours redevable à la victime en tous
cas les sommes par la formule µ€, accompagnées de clés des locaux libres de
toutes occupations.