De la part de la victime à l’Etat français une demande
expresse de la dissolution des tribunaux, du barreau, de la chambre des
huissiers de Toulouse et des services liés se formule naturellement pour des
raisons précitées officiellement par des plaintes successives et explicites depuis 8 août 2003 qui sont
publiées solennellement sur ce blog
.
Les 10 ans d’impunités délibérés et officiel des malfrats
c’est beaucoup, c’est beaucoup trop !
Les partialités incontestable des tribunaux de Toulouse est
avéré depuis longtemps (cf. plaintes du 8 août 2003) qui se reconfirment avec
le temps malgré les hypocrisies.
Les procès dans les tribunaux de Toulouse sont des cinémas
aux profits de la maffia juridique et de ses clients pour rendre la justice
bidon.
La justice toulousaine tourne à l’envers et mérite d’être
dissolue avec ses services à l’annexe qui la soutiennent par leurs complicités
professionnelle et en bande organisée.
Beaucoup de victimes seront soulagés par la dissolution des
services de la justice ci-dessus pour guérir de leurs blessures délibérément
provoquées par leur propre justice abusive et perverse.
Bien entendu les dissolutions des services de la justice ne
sont nullement suffisantes, les auteurs et les complices de la maffia juridique
doivent aussi payer leurs dettes à la société française d’une manière
exemplaire.
Les juges non plus, ne sont pas des dieux.
Ils doivent rendre des comptes de leurs actes à la société
française et de subir les conséquences de leurs actes.
Les silences de leurs hiérarchies ne sont pas tolérables
n’ont plus si elles ne savent pas tenir leurs membres, leurs officiers
ministériels,…, dans les rangs, définies
par les lois.
En bref, le dysfonctionnement des services de la justice ne
sont pas acceptables ni tolérables dans un État de Droits.
C’est évident !
Une telle partialité de la justice aux profits des fautifs
révèle la perversité de la justice Toulousaine.
Une perversité qui ne sait plus faire la machine en arrière
pour se corriger et pour se mettre sur le droit chemin.
Une perversité qui va droit au mur pour sa dissolution
inévitable.
Une perversité qui fonce vers un précipice avec ses
remorques remplis des complices de sa bande organisée. N.G.